Lorsque la bulle Internet a éclaté en 2000, le gouvernement belge a voulu encourager les investissements en capital-risque dans des sociétés de croissance non cotées – et donc la croissance économique. Mais cela ne pouvait pas se faire par le biais d’un fonds doté d’une personnalité juridique, sans inconvénient fiscal. Dès lors, un groupe de travail a élaboré une solution qui s’avère de plus en plus recherchée. Bernard Peeters et Quentin Masure, du cabinet d’avocats fiscalistes Tiberghien, en révèlent les dessous.
Lisez l'article complet, paru dans "Tendances" le 14/10/2021, ici.
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